Pas besoin de choisir entre couches et crunchs : l’équilibre existe
Devenir papa est sans doute l’un des plus grands bouleversements dans une vie. Entre les nuits courtes, les emplois du temps serrés et les responsabilités qui s’enchaînent, maintenir une routine sportive peut vite passer au second plan. Et pourtant, nombreux sont les papas qui réussissent à conjuguer vie de famille et performance physique. Comment font-ils ? Voici quelques pistes pour allier les deux sans sacrifier l’un ou l’autre.
🕒 1. Repenser le temps d’entraînement, pas le supprimer
L’un des premiers défis pour les jeunes papas est de trouver du temps. L’erreur serait de penser qu’il faut forcément s’entraîner comme avant : 1h30 de muscu, 10 km de course, ou un cours de 19h à 20h30 tous les mardis.
La clé, c’est l’adaptabilité. Mieux vaut 30 minutes efficaces que rien du tout. Des formats courts comme le HIIT, le circuit training ou même 20 minutes de mobilité au réveil peuvent suffire pour maintenir un bon niveau de forme. L’essentiel, c’est la régularité, pas la durée.
🤝 2. Impliquer la famille au lieu de la mettre de côté
Le sport peut être un moment de partage, pas d’isolement. Pourquoi ne pas aller courir avec la poussette de jogging ? Faire des pompes pendant que bébé joue au sol ? Organiser une séance en extérieur pendant que les enfants font du vélo autour ?
Certains papas transforment même leurs entraînements en jeu familial : squats avec bébé dans les bras, gainage pendant que les enfants grimpent sur eux… Ce n’est pas une séance “idéale”, mais c’est une séance, et elle crée des souvenirs.
🔁 3. Accepter de faire évoluer ses objectifs
Avant, tu courais des semi-marathons ou visais le développé couché à 120 kg. Aujourd’hui, tu veux surtout rester en forme, avoir de l’énergie pour jouer avec tes enfants et ne pas te blesser au moindre mouvement.
Changer d’objectif ne veut pas dire abandonner. Il s’agit de redéfinir ce qu’est la performance pour toi aujourd’hui. Peut-être qu’être au top, c’est faire 10 tractions sans douleur, ou maintenir un bon niveau cardio avec 3 séances par semaine. L’exigence n’a pas disparu, elle a simplement évolué.
🧠 4. Ne pas négliger la récupération (même si elle est différente)
Le sommeil est souvent réduit à peau de chagrin les premiers mois de paternité. Pourtant, c’est un pilier de la récupération et des performances physiques. Si tu ne peux pas dormir 8h, optimise ce que tu peux : sieste flash, sieste partagée avec bébé, coucher plus tôt.
L’alimentation joue aussi un rôle fondamental : prévoir des repas simples mais nutritifs, s’hydrater régulièrement, et éviter de se ruer sur les snacks sucrés par fatigue ou stress.
💬 5. Se rappeler pourquoi on fait tout ça
Le sport n’est pas un luxe, c’est un levier d’équilibre. Il aide à gérer le stress, renforce la santé, et donne confiance. Être en forme physiquement, c’est aussi mieux vivre sa paternité : avoir l’énergie, la patience et la disponibilité mentale pour être pleinement présent.
Enfin, c’est aussi un exemple. Les enfants apprennent par imitation. En voyant leur père s’entraîner avec constance, ils comprennent que le sport fait partie d’une vie saine, même (et surtout) quand la vie est bien remplie.
👉 Conclusion
Concilier paternité et performance physique demande de revoir ses priorités, ses habitudes et parfois son ego. Mais c’est loin d’être incompatible. C’est même une opportunité : celle de redonner du sens à sa pratique, de gagner en efficacité, et surtout de transmettre une passion à la génération suivante.
Alors à tous les papas : continuez de bouger, pour vous… et pour eux 💪
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